Je répondrai, en même temps qu'à Mme Trouvé, à M. Prud'homme, qui m'a accusé ce matin de naïveté en matière de commerce extérieur, que celui-ci est historiquement positif pour l'agriculture et l'agroalimentaire français, et qu'il le restera tant que nous serons une grande puissance agricole. Il faut certes combattre les accords qui ne contiennent pas de clause miroir, mais il faut absolument conserver notre puissance exportatrice : c'est ce qu'attendent nos agriculteurs.