Les forêts participent à la souveraineté agricole, car elles représentent un enjeu majeur dans la décarbonation de l'économie, par le bois produit, le stockage de carbone et les services environnementaux et sociaux qu'elles procurent aux citoyens. Il convient que la sylviculture soit reconnue d'intérêt général majeur et ajoutée à la liste des activités dont la résilience et le potentiel des facteurs de production doivent être préservés et améliorés.