Que la souveraineté alimentaire puisse se conjuguer avec une contribution du secteur agricole à la décarbonation de l'économie relève d'une évidence que le texte n'a pas à mentionner, d'autant que l'alinéa 7 crée une confusion : les agriculteurs n'ont pas vocation à pallier les failles de l'État et de l'Union européenne en matière de production énergétique, mais bien à nourrir la France et les Français.