Il est effectivement essentiel de mentionner la souveraineté de l'élevage en France. Lors de la réunion du 30 avril, j'ai rappelé qu'en trois ans, la décapitalisation représentait 14 % du cheptel en Corrèze, 18 % en Haute-Vienne et 20 % en Creuse. L'élevage herbager est une agriculture d'excellence, durable, labellisée à 98 %, qu'il est crucial de protéger, car la filière, abattoirs compris, représente un grand nombre d'emplois.
Le pastoralisme a été ajouté à la liste des activités d'intérêt général majeur à l'alinéa 3, mais pas les zones d'élevage. Or, sans élevage, il n'y a pas de pastoralisme.