Je ne sais pas si M. de Courson souhaite inscrire dans la loi que le ministre de l'agriculture est aussi le ministre des forêts, mais j'en accepte volontiers l'augure. En tout état de cause, je suis bien ministre des forêts.
Un tel débat n'est pas vain. De fait, l'amendement proposant d'ajouter la sylviculture à la liste des activités d'intérêt général majeur, que nous examinerons ultérieurement, me semble une bonne idée. Cette activité n'est pas de même nature que les trois autres ; en outre, elle est liée à l'agriculture, notamment par les haies.