Vous évoquez le risque de faire de l'agriculture un bien public soumis au regard collectif, chacun pouvant venir inspecter les champs de l'agriculteur pour évaluer si les cultures correspondent bien à l'intérêt général majeur. Sans vouloir m'élever au-dessus de ma condition, je pense que cela ne tient pas sur le plan juridique. En outre, vous supprimez la notion de souveraineté alimentaire. Avis défavorable.