Comme mes collègues, je regrette que certains de nos amendements relatifs à l'attractivité économique et à la compétitivité de notre agriculture ne puissent être examinés. Vous dites que la priorité est le renouvellement des générations. Nous devons renouveler un tiers de nos agriculteurs dans les dix années à venir : pensez-vous vraiment que la formation suffira à accroître l'attractivité du métier ? Pour ma part, je pense qu'il faut surtout travailler sur la question de la compétitivité. Or nos propositions ne trouveront pas place dans ce texte, ni dans les autres textes qui ont été annoncés – je partage sur ce point l'avis de notre collègue Dominique Potier. Nous restons donc un peu sur notre faim.