Vous avez beaucoup parlé de foncier, et je note d'ailleurs que vous êtes l'une des rares personnes auditionnées par cette commission d'enquête à avoir spontanément évoqué cette question à propos de l'accaparement et de l'artificialisation des terres. Une importante mesure structurelle prise par la France sous la précédente législature a été la mise en place du « zéro artificialisation nette ». Cette mesure est-elle perçue comme protectrice du monde agricole ?