D'accord, mais c'est un vrai travail de fourmi : on sait ce que les entreprises produisent en France et ce qu'elles exportent, mais on ne retrouve pas leurs achats de matières premières. Tout dépend ensuite de la volonté des entreprises de partager ou non. L'État devrait mieux accompagner celles qui jouent le jeu, ou prévoir un accompagnement inversement proportionnel à leurs résultats afin d'aider davantage les PME. Les grandes entreprises, en effet, gagnent sur tous les terrains. Au sein des interprofessions par exemple, elles intègrent les commissions export et bénéficient finalement de plus d'aides que les plus petites.