Lors de sa visite dans l'Aube, l'année dernière, le ministre de l'agriculture avait affirmé que les départements comme le nôtre connaîtraient la température de Montpellier d'ici à 2050 et qu'il faudrait en conséquence changer les cultures. Quel est votre point de vue à ce sujet ? Le changement des méthodes de travail – par exemple, l'emploi de retenues collinaires – permettra-t-il de maintenir une culture légumière grande consommatrice d'eau et une culture céréalière qui a également des besoins en eau plus ponctuels ?