La filière de la betterave sucrière a été planifiée et coorganisée entre nos forces agricoles, nos territoires et l'État. J'ai noté les injonctions contradictoires que vous receviez sur l'écologie et la décarbonation – la planification n'est pas forcément suivie. Or si une production peut jouer un rôle écologique important pour un continent qui n'a ni pétrole, ni gaz, c'est bien la betterave, par l'intermédiaire de la chimie verte ou de l'éthanol. Avez-vous des échanges de structuration avec l'État, le ministère ou l'Union européenne afin de fixer des objectifs de production, de souveraineté, de décarbonation ou d'autosuffisance ?