Si le rendement diminue, la compétitivité baisse – on ne peut pas se le permettre. Il faut obtenir ce rendement moyen tant pour assurer le revenu de l'agriculteur que pour absorber les coûts fixes de nos sucreries.
L'eau reste le facteur primordial de la croissance des plantes et de la chaîne alimentaire. L'irrigation est très disparate selon les territoires : certains l'autorisent, d'autres l'interdisent. Dans les secteurs comme l'Aube, où les phénomènes climatiques sont de plus en plus inquiétants, il est certain que l'irrigation permettrait de maintenir les rendements. Il faut y réfléchir sérieusement et mesurer tout cela.