En moins de dix ans, votre filière a été confrontée à trois grands maux de l'agriculture française : la dérégulation, l'ouverture à la concurrence déloyale et la surtransposition.
Vous avez expliqué qu'à court terme, la fin des quotas avait entraîné une augmentation de la production, qui s'est ensuite stabilisée, en réussissant à s'adapter – vous pouvez me contredire, les questions sont là pour vous permettre de réagir. Par ailleurs, si j'ai bien compris, la dérégulation a également provoqué de l'incertitude, le manque de cadre étant préjudiciable à la production.
Pourriez-vous rappeler quelle a été la position de la France sur la suppression des quotas ?