Je reviens encore une fois sur notre approche de la fertilisation associée. Ce n'est pas une question de quantité. Nous avons constaté la baisse de la consommation d'engrais en France et en Europe grâce aux innovations et à une connaissance plus fine du besoin nutritionnel des plantes. Il faut faire en sorte que chaque nutriment apporté soit consommé par la plante. C'est bien notre enjeu, qui guide nos programmes de recherche.