Le fait de demander de la repréciser est une forme de réponse.
Si je reçois des représentants de la filière automobile en France, qu'il s'agisse de Renault, de Stellantis ou de Toyota, ils seront capables de quantifier les entreprises françaises qui défendent la filière automobile française. Je veux bien que l'on s'enferme dans des définitions juridiques de ce qui est français, mais si l'on n'est pas capable, dès lors que l'on représente une filière industrielle, de préciser la part des acteurs français et étrangers, cela me paraît surréaliste.