L'urée et l'ammoniac ont fait l'objet d'une suspension temporaire des droits de douane. Celle-ci a été finalement levée pour soutenir les productions européennes. La difficulté, aujourd'hui, est liée aux sanctions appliquées à la Russie. Nous avons participé dernièrement à une réunion constructive avec les équipes du ministère des affaires étrangères pour savoir comment mesurer, à l'échelle européenne, l'efficacité de ces sanctions. Concrètement, les importations n'ont pas été freinées. Le but est d'avoir une vision par secteur de l'application des sanctions. Il me semble que la Commission européenne se penche sur le sujet.