Nous avons déplacé notre dépendance au gaz russe vers une dépendance aux engrais russes.
S'agissant de l'azote, nous constatons une forte importation européenne.
J'ai fait allusion aux « prix prédateurs » mis en place par la Russie. Dans notre secteur, les écarts constatés sont de l'ordre de 10 à 15 %.