Vous vous adressez à moi sur un ton comminatoire, mais je ne réponds pas aux oukases ! J'ai d'ailleurs déjà répondu à votre groupe, la semaine dernière, lors des questions au Gouvernement.
Comment pouvez-vous m'accuser d'un silence assourdissant alors que je ne fais que parler d'indépendance et de pluralisme ? Comme l'a rappelé le député Quentin Bataillon, j'ai fait un choix qui permet l'indépendance et le respect du pluralisme et de la diversité de la création. Gardez donc vos accusations et vos oukases pour vous ! Cette proposition de loi et les amendements que nous défendons semblent vous avoir touché pile où il le fallait. Vous préférez rester dans l'idéologie alors que nous préférons travailler pour l'intérêt général.
Que chacun reste à sa place ! La façon dont vous parlez depuis le début est inacceptable. Gardez vos familiarités pour vous, nous ne sommes pas intimes.