C'est un sujet crucial. Pour mener à bien la transition de notre agriculture, il faut des consommateurs, comme l'a dit Mme Genevard. Les cantines doivent en faire partie. Si l'on pousse la restauration collective à aller vers le bio et des labels de qualité, on favorise la filière. Nous voterons cet amendement.
Néanmoins, cet objectif est déjà inscrit dans la loi Egalim, et il n'est pas atteint : dans le monde de la concurrence libre et non faussée, les collectivités locales ont du mal à promouvoir la restauration locale et bio.