Il s'agit de donner la priorité à l'acquisition des compétences en matière de transition agroécologique et climatique.
Nous devons augmenter le nombre d'agriculteurs, ou du moins assurer le renouvellement des générations, mais aussi réaliser la bifurcation écologique, ce qui nécessite de modifier la formation des professionnels. Il ne suffit pas d'affirmer que l'on veut accroître les compétences : il faut un changement de paradigme. À cette préoccupation, il a été opposé l'importance d'enseigner la gestion, mais celle-ci est déjà présente dans les formations : il faut bien sûr préserver ce type d'enseignement, mais il est essentiel de renforcer ceux relatifs à la transition agroécologique et climatique.