L'adoption de l'amendement de M. Taupiac a permis en effet de fixer des objectifs chiffrés et je propose, par le présent amendement, que ces objectifs fassent l'objet d'une évaluation tous les deux ans devant le Parlement. Cela permettrait d'éviter de reproduire les erreurs du passé. Je pense, en particulier, à l'absence de contrôle de la loi Egalim : il a fallu la crise agricole pour provoquer un sursaut d'implication sur la question. Nous demandons donc que le Parlement contrôle périodiquement si les objectifs fixés dans le texte ont été ou non atteints.