Dans la période de crise énergétique que nous vivons, où les entreprises sont demandeuses à la fois de plus de financement à l'export pour faire face aux coûts supplémentaires et à plus de protection, certains s'interrogent sur les accords de libre-échange. Le Ceta présente de très grandes opportunités mais suscite également de l'inquiétude dans certains secteurs comme l'agriculture. Pouvez-vous dresser un premier bilan des retombées, pour notre économie, de cet accord signé il y a cinq ans ?