Il faudra donc des ouvrages, ce qui s'accorde avec ce que j'ai dit à plusieurs reprises avant ce débat. Cela ne veut pas dire qu'on fera n'importe quoi, que l'on réalisera tous les ouvrages, ou que la seule manière de rendre l'agriculture résiliente soit de faire de l'ouvrage, de l'ouvrage, de l'ouvrage ! En effet, certaines années, il ne pleuvra pas. Nous devons donc construire un modèle de résilience reposant sur des ouvrages, mais aussi sur la sobriété et sur l'évolution des pratiques.
Dans les Pyrénées-Orientales, il est tombé à certains endroits 250 ou 300 millimètres de pluie. Cela n'a pas rempli les ouvrages existants !