Il vise à préciser l'alinéa 27 touchant la reconnaissance des externalités positives de l'agriculture, dont les services environnementaux ont un rôle déterminant à jouer. Nous proposons donc d'écrire qu'il faut soutenir les Maec. Ce dispositif a permis à de nombreux agriculteurs d'adopter des démarches agroécologiques et son succès même nécessite des financements supplémentaires : il n'est pas possible de refuser aux exploitants, comme cela a encore eu lieu l'an dernier, ce paiement des services qu'ils rendent et des efforts qu'ils consentent afin de préserver la qualité de l'eau, des sols et de l'air.