Je souscris aux propos de mes collègues de l'Ardèche et du Cantal : l'agriculture de montagne, essentielle à la survie de ces territoires, à l'entretien de leurs paysages, de leur biodiversité, de leur environnement, de la vie dans leurs villages, est la grande oubliée de ce projet de loi. La soutenir, c'est soutenir une agriculture de qualité, certes extensive mais, je le répète, indispensable. Seulement, ces exploitants ne luttent pas à armes égales : le climat et les pentes entraînent des surcoûts importants.