Je prétends, et nul ne pourra me contredire, que nous avons sauvé la filière avicole française. Nous avons débloqué plus de 1 milliard d'euros pour indemniser les producteurs durement touchés par la grippe aviaire, ce qu'aucun autre pays d'Europe n'a fait. Par ailleurs, nous avons mis en place, en avance sur le calendrier prévu, un plan vaccinal dont il a été démontré qu'il avait produit ses effets – je me tourne vers M. Taupiac qui sait quel enjeu cela représente dans un département comme le sien.
Il est nécessaire de mieux reconnaître l'élevage, notamment le rôle qu'il joue pour assurer notre souveraineté alimentaire. Produire ce que nous mangeons, voilà une logique très importante à mettre en œuvre, comme certains le soulignent.
Il nous faut également défendre le pastoralisme.