Citons les chiffres : 1 milliard d'euros d'aide exceptionnelle au titre du gel, 200 millions pour le financement de la distillation, 80 millions d'aides d'urgence, 150 millions débloqués par l'État dans le cadre des opérations d'arrachage – demain, je lancerai les discussions autour de l'arrachage différé et de l'arrachage définitif.
Jamais la viticulture n'avait bénéficié d'autant de moyens. Et je salue l'esprit de responsabilité dont font preuve ses acteurs : tous en conviennent, face au problème structurel de la surproduction qui, loin d'être propre à la France, touche le monde entier,…