Il permet d'évoquer la formation des travailleurs agricoles saisonniers, auxquels nous voulons garantir un droit à la formation. Le travail précaire agricole concerne au moins 600 000 personnes dans le pays, d'après une thèse : une main-d'œuvre venue d'Europe, mal payée, mal logée, maltraitée ; une main-d'œuvre qui vient d'ailleurs, encore plus exploitée, et insultée par les racistes parce qu'elle n'a pas de papiers ; et aussi une main-d'œuvre française, précarisée, mal formée, et volontairement maintenue dans la précarité.