Nous savons tous ici que notre agriculture est riche de ses différences – différences de sol, de climat, d'ensoleillement et d'hydrologie, dont les effets sont tout à fait notables. Prenons l'exemple du Gers : malgré la qualité de ses produits et l'engagement de ses agriculteurs, les rendements y sont moins bons et les conditions d'exercice y sont plus difficiles que dans d'autres départements. En cause, des potentiels pédoclimatiques distinguant les territoires entre eux, mais également les effets différenciés du changement climatique d'une zone de culture à l'autre.
Mon sous-amendement vise à reconnaître les différences de potentiel pédoclimatique et à prévoir des aides territorialisées dans l'action de notre gouvernement, c'est-à-dire à enrichir le texte qui nous est proposé.