Identique à celui qui vient d'être défendu, il propose une rédaction prescriptive qui permette de « garantir un revenu digne » aux agriculteurs, qu'ils soient exploitants, salariés ou non-salariés. La question du revenu aurait dû être un chapitre essentiel de ce projet de loi d'orientation agricole, parce que c'est évidemment ce que les agriculteurs attendent et c'est ce qui leur est dû. Sans un revenu digne, ils ne pourront s'engager dans la transition agroécologique de façon sécurisée, et le renouvellement des générations ne pourra être garanti.