Ce sous-amendement fixe un objectif minimum de surfaces à maintenir en infrastructures agroécologiques. On a tendance à ne plus protéger ces surfaces agricoles différentes alors qu'existent des mesures qui permettraient de le faire. Or de telles surfaces constituent un moyen de faire reposer la terre et d'en garantir la productivité en préservant les sols. Nous avons besoin de mesures d'accompagnement, y compris financières, pour assurer le respect de la terre, premier outil de travail des agriculteurs – ils en sont d'ailleurs, toutes et tous, bien conscients.