Je vous l'accorde, monsieur Dive, cela ne fait pas de mal de se lancer des roses lorsqu'on parle d'horticulture. Discuter de rotations longues, de changer les façons culturales, de se passer des pesticides pour faire de l'agroécologie, cela implique des compétences agronomiques pointues, que nous promouvons. Vous prétendez, au contraire, être les plus compétents et défendre le modèle le plus pertinent.