Je regrette également que M. Sitzenstuhl ne soit plus là, car il a dit de véritables énormités. Il est dommage que ce débat serve à justifier le soutien aux gros modèles agro-industriels, dans l'objectif de nourrir les populations du monde qui ne peuvent, prétend-on, le faire elles-mêmes du fait de leur climat.
La famine est politique ; ses premières causes sont politiques.