Le présent amendement énumère différentes formes d'élevage : l'apiculture, le pastoralisme, etc. Dès lors que l'on en cite quelques-unes, il me semble nécessaire de les citer toutes, afin de saluer l'ensemble de nos éleveurs : bovins, laitiers, ovins, caprins, avicoles, de lapins – qui connaissent une crise réelle –, de canards – qui sont confrontés à d'importantes crises sanitaires –, équins, mais aussi les producteurs d'œufs – le département dans lequel je suis élu est celui qui produit le plus d'œufs en France. Ce sont des compétences et une réalité économique.
C'est également une filière : cessons de limiter le débat aux seuls agriculteurs ! Ils sont évidemment pionniers, à la tête du dispositif ; mais il y a derrière eux un monde ouvrier très important. Ces ouvriers parviennent à vivre dans leurs territoires d'origine grâce aux industries agroalimentaires qui se sont développées au fil des ans et qu'il convient de préserver. Tel est le but de ce sous-amendement.