Je ne crois pas que la teneur de nos débats aujourd'hui honore le Parlement. Nos discussions sont incompréhensibles, illisibles : aucun agriculteur ne peut décemment comprendre ce qui se passe ce soir dans l'hémicycle. Monsieur le ministre, voilà deux ans que les agriculteurs attendent ce texte finalement mal préparé, que le Parlement aurait dû pouvoir examiner en toute quiétude.