Cet amendement est très terre à terre. Le pronom relatif « qui » porte soit sur le mot « nation », soit sur le mot « souveraineté ». S'il porte sur la souveraineté alimentaire, ce qui est voulu, on lit que la souveraineté alimentaire contribue à la défense « de ses intérêts fondamentaux ». Dans ce cas, il y a un problème d'écriture. Je propose donc : « en tant qu'ils garantissent la souveraineté agricole et alimentaire de la France, qui contribue à la défense des intérêts fondamentaux de la nation ». L'ambiguïté est ainsi évitée.
J'entends beaucoup parler de vision, mais je voudrais aussi parler de vécu. Dans mon voisinage et dans ma famille, j'ai connu des modèles différents, des sols en terre battue dans les cuisines, des petites fermes, et des fermes plus intensives, mieux développées, où la cuisine est plus éclatante.