Quels moyens nous donnons-nous ? Nous espérons avoir des réponses. Pour que l'agriculture de demain soit intensive en main-d'œuvre et respectueuse de l'environnement, il faut viser davantage que le simple remplacement des générations et passer à 30 000 apprenants par an. Il faut aussi les former différemment, avec plus de contenus agroécologiques, car ce sont ces nouvelles générations qui changeront les pratiques.
Les non-issus du milieu agricole (Nima) représentent 60 % des agriculteurs qui s'installent, et ce sont les premiers demandeurs de cette formation en agroécologie.
Vous pouvez faire ce que vous voulez, des pieds et des mains ou mettre les pieds sur le frein, rien n'est plus puissant qu'une idée dont l'heure est venue.