J'avoue que j'ai du mal à suivre la gauche. Tout à l'heure, vous nous avez reproché de ne pas vous avoir associés à la rédaction de cet article que nous aurions écrit tous seuls.
Je souhaite informer nos collègues qui n'étaient pas présents en commission des affaires économiques que, la semaine dernière, nous avons travaillé sur cette rédaction et nous avons accepté plusieurs amendements, dont certains de M. Potier. Mais, je le répète, j'ai du mal à vous suivre.