Je vous invite bien sûr à ne pas voter cette motion de rejet, mais je veux conclure sur un dernier point. Vous avez évoqué tout à l'heure ce qui est à vos yeux criminel. Ce qui, pour moi, est criminel, ce sont les propos de vos amis qui parlent de l'agriculture comme ils en parlent ; c'est de désarmer la production française alors que les risques qui pèsent sur notre souveraineté sont grands ; ;