Pour les écologistes, comme pour tous les groupes de la gauche, il faut assumer ce modèle vertueux et résilient et accompagner tous les agriculteurs vers l'agroécologie, afin de maintenir notre modèle d'agriculture familiale et pastorale.
Vous pensez résoudre tous ces chocs agricoles avec la mise en place d'un France Services agriculture ou la création d'un « bachelor agro ». Pour nous, la réponse réside dans les chances que l'on se donne pour réussir la transition agroécologique.
Vous êtes flous, nous sommes clairs et cohérents. Vous multipliez les échecs quand certains responsables agricoles, associatifs et politiques dessinent un chemin soutenable et désirable, partout où ils sont aux responsabilités.
Quand vous échouez à atteindre tous les objectifs fixés par les lois Egalim, dont celui de servir 20 % de produits bio dans les cantines – on atteint en moyenne péniblement 6 % –, toutes les villes écologistes dépassent largement les objectifs.