Vous pourrez retrouver facilement les témoignages de certains policiers dans la presse, du moins si cela vous intéresse…
« Honnêtement, la situation est catastrophique », déclare un lieutenant de CRS sous couvert d'anonymat. Un délégué syndical indique : « Dans ma zone, des gars ont voulu regarder les dossiers des nouveaux réservistes, ils ont immédiatement été convoqués par l'IGPN [Inspection générale de la police nationale]. » Sonia Fibleuil, porte-parole de la direction générale de la police nationale (DGPN), reconnaît elle-même que le facteur humain ne permet pas de sécuriser les recrutements. Ajoutons les appels d'offres de sécurité privée non pourvus, la crainte de défections de dernière minute…