Plusieurs Premiers ministres y ont appelé : je pense à Jean-Marc Ayrault et à Édouard Philippe, qui ne sont pas des Insoumis. Vous jugerez peut-être, monsieur le ministre, que ce sont des agents de la bordélisation. Nous croyons au contraire qu'en la matière, la parole des anciens Premiers ministres est sage, et qu'il faut l'écouter.
C'est une question de cohérence, je vous l'ai déjà dit. Vous ne pouvez pas à la fois, s'agissant de la révision constitutionnelle relative à la Corse, être soucieux de l'accord unanime des élus de la collectivité territoriale de Corse, et, vis-à-vis de la Nouvelle-Calédonie, passer outre l'accord des élus locaux, choisis par les populations de ce territoire.