J'espérais que vous le souligneriez.
Je voudrais aussi vous renvoyer aux droits reconnus à l'article 2. La liberté, c'est bien sûr notamment – je l'espère pour vous – celle de choisir son destin. La propriété, c'est malheureusement ce qui n'est pas respecté en ce moment même en Nouvelle-Calédonie. Quant à la sûreté, alors que nous sommes obligés d'envoyer le GIGN – Groupe d'intervention de la gendarmerie nationale – pour sauver des personnes âgées de 80 à 85 ans se trouvant dans des maisons que l'on brûle actuellement en Nouvelle-Calédonie, et que vous n'avez pas un mot pour elles, ni pour les policiers et les gendarmes attaqués ou molestés, je m'interroge.