C'est un partenaire, signataire des accords de Nouméa et de Matignon, qui a le droit d'affirmer qu'après trois référendums organisés suivant les règles prévues par la Constitution, il faut accepter et respecter le vote des Calédoniens.
Le Gouvernement est évidemment heureux que la démocratie puisse vivre. Il respecte ceux qui veulent l'indépendance, il permet que l'on discute avec eux : il y a des partis politiques et des syndicats indépendantistes, y compris au sein de la police nationale et de la magistrature.