Le processus de décolonisation et l'objectif de destin commun avancent étape par étape, des étapes réciproquement consenties.
Hier, pour inviter l'ensemble des parties à négocier, le président Macron a soudainement annoncé qu'il ne convoquerait pas immédiatement le Congrès si le texte était adopté par notre assemblée. La date du 1er juillet demeure pourtant, alors qu'on ne crée pas de consensus avec une épée de Damoclès au-dessus de la tête.