La vision de la société évolue et les lois en tiennent compte.
Le besoin des jeunes équipes médicales de connaître le cadre que définit la loi n'entachera pas la relation au patient.
L'intelligence artificielle peut être extraordinaire pour reconstituer une histoire ou compiler quarante ans de connaissances, mais il lui sera beaucoup plus complexe de remplacer un médecin urgentiste.
Nous disposons de quelques données statistiques numériques relatives au pronostic de malades en réanimation qu'il sera intéressant de prendre en compte. Je doute que le numérique révolutionne profondément la problématique de l'aide à mourir.