Le soutien au suicide assisté n'est-il pas contraire à la politique de prévention du suicide ?
L'évaluation systématique par un psychiatre ne serait-elle pas intéressante ?
Un délai de quarante-huit heures pour valider la demande d'aide à mourir permet-il de prendre en compte la fluctuation de volonté du patient ?
Ne craignez-vous pas qu'une légalisation du suicide assisté s'applique en priorité aux personnes les plus pauvres ?