Qu'est-ce que ce texte apportera de mieux que la loi de 2016, qui n'est pas ou partiellement appliquée ?
Confondre le renforcement des soins palliatifs et l'euthanasie ne représente-t-il pas un mélange des genres préjudiciable ?
N'existe-t-il pas également en France une lacune sur la gestion de la souffrance, notamment sur le plan philosophique ?