Nous entendons, nous aussi, les interrogations exprimées par un certain nombre d'avocats inscrits aux barreaux des régions – celui de Paris ayant une position différente. Tout cela n'est pas binaire : personne ne cherche à opposer les uns aux autres. Je crois que nos débats ont pu dissiper les incompréhensions, voire les fantasmes. Il ne s'agit pas d'affirmer que tout est bien et que le texte est parfait, mais il traduit une volonté réelle et sincère de renforcer l'attractivité de nos entreprises et de notre pays. Si, nous en avons bien conscience, la proposition de loi n'est pas l'alpha et l'oméga en la matière, elle est un élément nécessaire.
Il n'est pas question de créer un statut de sous-avocat ou un cheval de Troie destiné à préparer une réforme qui ne dirait pas son nom. Nous verrons, dans les années à venir,…