Dans le cadre du dispositif TODE, le taux a évolué, mais cela ne va pas assez loin. Nous avons besoin de faire travailler les tractoristes, les permanents et les saisonniers en heures supplémentaires au moment des récoltes. Les heures supplémentaires étant mieux rémunérées, l'employeur dépasse le taux et n'a plus droit aux exonérations. Par ailleurs, le dispositif ne devrait pas être applicable qu'aux plus bas salaires, puisque nous avons besoin de salariés qualifiés pour conduire les tracteurs ou piloter des process impliquant la manipulation de matériel. Il faut arriver à un système qui tienne compte de la situation économique de l'entreprise.